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Dès son apparition dans l'ombre, après un diaporama de photos remontant les temps forts de sa carrière, ses admirateurs se lèvent et l'acclament. Il entonne "Salut", ce titre qui clôt habituellement ses spectacles. Il enchaîne avec "La java de Broadway" accompagné par une trentaine de musiciens, dont quinze violonistes, uniquement des femmes, et cinq cuivres. Le plus souvent immobile, menton levé malgré quelques coups d'œil sur le prompteur, Michel Sardou esquisse quelques sourires assurés et déroule ses tubes, "Vladimir Illitch", "Les vieux mariés" et ce "Je vais t'aimer" aux arrangements "morriconiens". Le chanteur de 70 ans décide soudain de "ne pas faire plaisir" au public. "Je vais vous chanter une nouvelle chanson", dit-il avant d'interpréter "San Lorenzo", issu de son dernier album "Le choix du fou". Michel Sardou rend ensuite hommage à Barbara en reprenant "L'aigle noir", la voix peu assurée.









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