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Appel à la valorisation du patrimoine architectural et de la mémoire de la ville d’Azemmour
A Casablanca, il y a des crimes tous les jours. Les rubriques des faits divers des quotidiens et des hebdomadaires en font leurs choux gras. Le rédac chef, comme un coq sur son perchoir, hurle. On ne s’entend plus, on gesticule et on brasse de l’air. Le crime en question les excite tous, écrit-elle dans l’introduction de ce roman.
« La chaise du concierge » qui est un roman à trois voix, met en exergue des narrations à la première personne, plonge les lecteurs dans les pensées les plus intimes de chacun et relate aussi des histoires dans l’histoire, lesquelles sont liées.
Ainsi, l’écrivaine explique dans son ouvrage : « Ce qui a pu pousser les terroristes à devenir terroristes et le serial killer à trouver un plaisir pervers à "purifier" ses proies ». Dans cet ouvrage, l’auteure met en exergue la noirceur des regards, des actes, d’une société qui perd ses repères où tout est sombre, troublant et féroce.