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« Ce code d’éthique n’est pas une simple revendication, mais une nécessité dictée par la volonté de chercher les moyens d’unir les magistrats autour de comportements et qualités universellement reconnus, auxquels ils doivent se conformer et dont les magistrats du monde musulman étaient précurseurs », a souligné à cette occasion Abdelouhed Radi.
Le ministre de la Justice a salué par la même occasion l’approche consensuelle qui a prévalu à la réalisation de ce code, qui s’érige en véritable pacte entre les magistrats à respecter un certain nombre de valeurs, de principes, d’usages et de coutumes lors de l’exercice de leur fonction.
L’indépendance, l’intégrité, l’impartialité et la neutralité, l’égalité, le courage moral, la dignité et la réserve, la compétence, le comportement judiciaire, la décence et la solidarité sont autant de valeurs et de principes devant régir la conduite des magistrats lors de l’exercice de leur fonction.
«Notre objectif, à travers cette Charte, est de garantir le principe de l’indépendance de l’autorité judiciaire, d’assurer sa défense et de protéger la dignité et l’immunité des magistrats», a indiqué de son côté le président de l’Amicale Hassania des magistrats.
Désormais, cette Charte, dont le contenu sera enseigné à l’Institut supérieur de la magistrature autant dans la formation initiale que dans la formation continue, sera à même de renforcer la confiance des citoyens en leur système judiciaire et de leur permettre de découvrir les attributs et les comportements que les magistrats se doivent de respecter.











