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«C’est une avancée significative dans le processus de mise en place de la conférence de Genève, dont le but est (...) d’établir par consentement mutuel des deux délégations qui négocient un gouvernement de transition exerçant les pleins pouvoirs exécutifs», a déclaré la porte-parole du département d’Etat, Jen Psaki.
La porte-parole s’est également félicitée de la présence de représentants de la Coalition nationale kurde au sein de la coalition syrienne, qui «garantit une meilleure représentativité de la diversité syrienne».
L’opposition a exigé aussi l’ouverture de corridors humanitaires pour permettre d’acheminer des secours aux Syriens assiégés et permettre l’évacuation des civils, ainsi que la libération des prisonniers.
Paris, par la voix du ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, s’est également félicité mardi de l’accord de la Coalition nationale syrienne à sa participation à Genève-2, qualifiée d’»avancée majeure vers la possibilité d’une solution politique».
La conférence de Genève II parrainée par les Etats-Unis et la Russie, qui devait initialement se dérouler l’été dernier, a été repoussée à plusieurs reprises. Cet accord de principe du CNS pourrait en accélérer la tenue.