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Catherine Ashton, Haute représentante de l'Union européenne pour la politique étrangère et de sécurité commune, a reproché mercredi à Téhéran de chercher à retarder ces nouvelles discussions avec les "Six", groupe qui réunit les membres permanents du Conseil de sécurité de l'Onu (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie, Chine) et l'Allemagne.
"Certains de nos partenaires parmi les Six et la partie iranienne ne parviennent pas à s'entendre sur le lieu de la rencontre", a déclaré le chef de la diplomatie russe après un entretien avec son homologue belge Didier Reynders.
"Nous sommes prêts à nous rencontrer où que ce soit aussi vite que possible", a poursuivi Lavrov. "Nous estimons que la nature de nos discussions est beaucoup plus importante (que leur lieu) et nous espérons que le bon sens l'emportera, et que nous cesserons de nous comporter comme des enfants".
L'Iran et les "Six" se sont entendus sur le principe de la reprise de leurs discussions. Une agence de presse iranienne a annoncé que la nouvelle rencontre pourrait avoir lieu les 28 et 29 janvier, mais l'Union européenne, dont la Haute représentante pour la politique étrangère négocie au nom des Six, a fait savoir que la date et le lieu restaient à définir.
Les dernières discussions, aussi infructueuses que les précédentes, se sont déroulées en juin à Moscou.