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Le public découvre, à travers ce long métrage, des paysages mémorables et le quotidien des gens dans des terres reculées.
Après sa sélection au Festival international du film de San Sebastian, et sa récompense d’un Bayard d’or du meilleur scenario au Festival international du film francophone de Namur, “Al Jamaâ”, continue sa tournée et interpelle plus d’un lors de sa projection dans le cadre de la 12 ème édition du film national du film à Tanger (du 21 au 29 janvier).
Dans cette œuvre, Daoud Oulad Sayed revisite les décors qu’il a fait construire dans un village de Zagora (Sud) pour les besoins du tournage de son film précédent intitulé “En attendant Pasolini”.
Lors d’un point de presse, organisé dimanche, le réalisateur marocain a expliqué qu’il a essayé, avec ce film, de sortir des “histoires conformes” pour exprimer ses propres idées, soulignant que “La Mosquée” est une fiction basée sur une idée réelle.
Le film n’est nullement une deuxième partie d’un long métrage précédent, a tenu à souligner Daoud Oulad Sayade, mettant en évidence sa “fierté” quant au casting et au scénario de “La Mosquée” qui est loin d’être classique, a-t-il dit.
“La Mosquée”, qualifié de “film léger” par les critiques, a été réalisé en 2010, et remporté plusieurs prix dont celui du “cinéma en mouvement” au Festival Saint Sébastien en Espagne en septembre dernier, ainsi que le Prix +Tanit+ de bronze pour les longs métrages, lors du dernier Festival des journées cinématographiques de Carthage (Tunisie).
Outre le film de Daoud Oulad Sayed, quelque 18 longs métrages sont en lice dans le cadre de la 12ème édition du Festival national du film de Tanger, qui comporte également une compétition officielle de courts métrages en plus d’une série d’hommages à des artistes ayant contribué à l’enrichissement du 7ème art.