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Dans un communiqué, la FIJ a estimé que cette pratique constitue une “atteinte” à la vie privée et à la liberté de la presse. "La mise en oeuvre d'une telle précaution prive les journalistes de leur droit à la vie privée et limite la liberté de la presse", a pointé la Fédération, appelant le comité d'organisation "à abroger cette disposition et à discuter d'autres moyens de maintenir la sécurité de tous les participants avec les journalistes et leurs syndicats".
Selon le communiqué, cette "surveillance par GPS passera par le suivi des téléphones des membres des médias", qui devront maintenir active la fonction de localisation et sauvegarder les données" associées.
En raison de la persistance de la pandémie, les journalistes couvrant cette grand-messe planétaire doivent fournir une liste détaillée des endroits où ils comptent se rendre lors de leurs deux premières semaines au Japon, comme les sites olympiques et leurs hôtels. La semaine dernière, la présidente du comité d'organisation Tokyo-2020, Seiko Hashimoto, avait annoncé que les représentants des médias étrangers seraient constamment géolocalisés par GPS et tenus de respecter les restrictions imposées sous peine de perdre leur accréditation. Tokyo-2020 avait précisé par la suite qu'il ne s'agirait pas d'une surveillance en temps réel mais destinée au traçage des déplacements a posteriori en cas de problème.
Les sportifs olympiques eux-mêmes seront très limités dans leurs déplacements, tandis que la venue de spectateurs de l'étranger a été interdite en mars.