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La Corée du Nord, qui a récemment installé deux missiles de moyenne portée sur sa côte est, pourrait également effectuer un tir d'essai cette semaine dans une surenchère destinée à obtenir des concessions de Washington, par exemple sur une reprise sans condition des négociations sur le nucléaire civil.
Furieuse du nouveau train de sanctions adopté par l'ONU après son nouvel essai nucléaire début février et des manœuvres militaires conjointes en cours entre les Etats-Unis et la Corée du Sud, la Corée du Nord a multiplié ces dernières semaines les déclarations belliqueuses.
Par mesure d'apaisement et afin de laisser à Pyongyang la seule responsabilité de l'escalade, Washington avait annoncé samedi le report d'un essai de Minuteman 3, missile balistique intercontinental à capacité nucléaire, qui devait être tiré cette semaine depuis la base aérienne de Vandenberg en Californie.
Pékin, seul allié de poids du régime nord-coréen, a implicitement adressé une sévère mise en garde à son voisin dont l'économie exsangue vit sous perfusion chinoise.
Pyongyang a par ailleurs transporté en train, en début de semaine dernière, deux missiles Musudan d’une portée théorique de 3.000 kilomètres et donc capables d'atteindre la Corée du Sud ou le Japon et les a installés sur des véhicules équipés d'un dispositif de tir, selon Séoul.
Pyongyang pourrait effectuer cet essai autour du 10 avril, date à laquelle le régime communiste a indiqué ne plus pouvoir garantir la sécurité des missions diplomatiques étrangères.