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"La BPC fait ce qu'elle peut mais cela ne sera sans doute pas suffisant et il faudra faire plus", a prévenu Wei Yao, économiste sur la Chine à la Société générale.
Pour Liu Li-Gang, d'ANZ Bank à Hong Kong, la baisse du taux de réserves obligatoires des banques constitue la mesure la plus marquante décidée par les autorités monétaires car elle équivaut à l'injection de 650 milliards de yuans (88 milliards d'euros) dans l'économie.
La BPC avait surpris les marchés en dévaluant le yuan de près de 2% le 11 août, une mesure présentée par Pékin comme une libéralisation du régime de change du pays mais perçue par certains comme la mise en œuvre d'une stratégie de dévaluation compétitiv.
"Actuellement, il n'y a aucun fondement pour une poursuite de la dépréciation du yuan, qui est en état de rester à un niveau raisonnable et équilibré", a déclaré mardi dernier le Premier ministre chinois Li Keqiang, cité par la télévision publique.
La publication vendredi dernier de l'indice préliminaire Caixin/Markit des directeurs d'achat (PMI) pour le secteur manufacturier chinois, montrant que celui-ci s'est contracté en août à son rythme le plus marqué depuis six ans et demi, a alimenté les inquiétudes sur le ralentissement de la deuxième économie mondiale et déclenché une forte correction sur l'ensemble des places boursières. Une majorité d'économistes prédisent toutefois à l'économie chinoise une décélération régulière plutôt qu'une chute brutale et rejettent la comparaison avec la crise financière mondiale de 2008 et celle des pays émergents d'Asie en 1997-1998.