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Il s’agit du Réseau international des acteurs civils pour le soutien du projet d'autonomie désormais connu sous le sigle (INCASA), dont les activités ont démarré à l’occasion d’une conférence de presse tenue jeudi 15 juillet à Rabat.
Pourquoi cibler le Vieux contient et les pays latino-américains ? Le secrétaire général du Réseau, Bachir Dahi et sa coordinatrice, Rouaida Marwa expliquent ce choix par le fait que le Polisario, pour faire cautionner ses thèses séparatistes, avait longtemps fait de ces deux régions, sa chasse gardée. Pour s’y implanter, il a mis à profit la sensibilité des Européens aux questions humanitaires et celle des Latino-américains aux messages révolutionnaires. L’INCASA a choisi la capitale libanaise, Beyrouth qui abrite de nombreuses organisations internationales, pour s’y installer et déclencher sa bataille en faveur de la solution que propose le Maroc. Etant convaincus que sur le front intérieur, la majorité écrasante des Marocains est acquise à la légitimité des revendications du Maroc sur ses provinces du Sud, les dirigeants de l’INCASA estiment que c’est sur la scène internationale que la société civile devrait se concentrer pour démystifier la propagande mensongère du Front Polisario et sensibiliser l’opinion publique internationale à la justesse de l’approche marocaine de ce dossier.
Peu de jours après sa création, à Laâyoune, l’INCASA avait adressé des lettres au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon ainsi qu’aux membres du Conseil de sécurité. Le Réseau les a priés d’assumer leurs responsabilités dans le règlement du conflit et d’exercer leurs pressions sur la direction du Polisario et les dirigeants d’Alger pour reprendre de bonne foi, les négociations et lever le siège imposé aux milliers de Sahraouis parqués dans les camps de Tindouf.