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Les discussions, lancées samedi, constituaient la deuxième tentative de l'opposition de former un gouvernement, alors que le soulèvement contre le président Bachar Al-Assad a tendance à virer à l'affrontement communautaire entre les sunnites, majoritaires en Syrie, et les alaouites, branche de l'islam chiite à laquelle appartient le président Assad.
La Coalition de 70 membres, dominée par les islamistes et leurs alliés, a été fondée le 11 novembre à Doha au Qatar, avec le soutien des puissances occidentales et des Etats du Golfe. Les luttes de pouvoir entre ses membres minent les efforts pour parvenir à un gouvernement de transition.
Dans le communiqué publié lundi, le CNS dit avoir formé un comité de cinq membres chargé de lui présenter des propositions d'ici dix jours. Le comité "consultera les forces de l'opposition et l'Armée syrienne libre ainsi que les Etats amis pour obtenir leur opinion sur la formation du gouvernement et jusqu'à quel point ils peuvent aller pour honorer les engagements nécessaires pour sa viabilité politique et financière", lit-on dans le communiqué de la CNS.
Des sources proches des négociations à Istanbul, ont expliqué que le président de la Coalition nationale syrienne, Moaz Al Khatib, s'est envolé pour le Qatar pour obtenir des promesses d'aide financière pour un gouvernement de transition dans les zones tenues par les rebelles.
Les représentants de l'opposition étaient en plein désaccord sur la viabilité d'un gouvernement de transition quand Moaz Al Khatib est parti, explique-t-on.