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L'enfant grandit au sein d’une famille aisée, de mère médecin et de père architecte, sans pour autant jouir d'un environnement sain qui assimile ses besoins et accepte son agitation, son impulsivité et ses petites révoltes. Le psychiatre diagnostique chez Amine une hyperactivité et un trouble de l'attention qui nécessitent un traitement médicamenteux, considéré à tort comme une "drogue" par le père. Amine, par contre, se montre positif et prêt à suivre le traitement afin d'atteindre l’objectif qu’il s’est fixé : réussir à l’école et surmonter sa situation difficile.
Les principaux protagonistes du film, qui a bénéficié du soutien du Centre cinématographique marocain (CCM), sont le père Omar interprété par Farid Regragui, la mère Ghita par Narjis Hallak et Amine (Abderraman Attar). Filmé dans les villes de Rabat et Kénitra et leurs alentours, le film a été projeté le 21 décembre en avant-première à Kénitra, dans le cadre du Mercredi du cinéma, organisé par le club cinématographique de la ville.
Rappelons enfin que Fahd Lachheb, qui se joint à une nouvelle génération de cinéastes, est né en 1988. Après des expériences locales en tant que stagiaire et réalisateur adjoint, il a poursuivi ses études et a décroché un diplôme de l'Ecole de cinéma, de la télévision et de l'audiovisuel à Madrid.