L’ode poignante de Jalal Kandali mise en musique par le Koweïtien Ziyad Lmhana et chantée par l’Egyptienne Rana Atik
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Si l’on doit citer l’exemple type de chanson panarabe, il n’y a pas à hésiter. Le modèle approprié vient de nous être servi à l’occasion de la toute dernière fête des mères.
Le parolier est marocain, le compositeur est koweïtien et l’interprète est égyptienne.
Le texte est tout naturellement à la base, c’est comme qui dirait « Au commencement était la parole (ou le Verbe) ». Les paroles sont signées de notre confrère Jalal Kandali. Et surtout ne pas chercher à dissocier chez la personne le côté poétique de celui journalistique. Jalal c’est les deux. Et bien plus, devrait-on préciser.
Les paroles si profondes de « Oummi » (Ma mère) n’ont pas manqué de sensibiliser au-delà de nos frontières. Et pas n’importe qui, puisqu’il s’agit du compositeur koweïtien renommé Ziyad Lmhana et de la chanteuse prometteuse Rana Atik, star incontestée de The Voice dans sa version égyptienne. Le projet a aussitôt vu le jour. Jalal Kandali a été sollicité pour donner son accord. Il ne pouvait qu’acquiescer, lui, qui au départ, destinait ses paroles à sa regrettée mère dont il était si proche et avec laquelle il avait des rapports pour le moins fusionnels. Le cœur y était assurément et l’inspiration était telle que cette fois au lieu de l’arabe classique ou du zajal marocain que Jalal maîtrise, bien entendu, à la perfection, c’est en égyptien que le doux texte a éclos. Tant il est vrai que ce Settati pur et dur a plus d’une corde à son arc.
« Mère ! Ma mère qui supportes en permanence mes soucis. Mère qui as tant veillé, tant souffert, qui m’as consacré toute ta vie… Qui d’autre peut-il, aujourd’hui, essuyer mes larmes…. ?»
Il n’en fallait pas plus pour que Rana Atik tombe sousle charme, pour ne pas dire l’emprise, de ces paroles si émouvantes et qu’elle en fasse, avec la belle complicité de Ziyad Lmhana pour la musique et Khalid Achâair pour l’arrangement musical, une chanson dédiée à toutes les mères, la sienne en premier.
Le parolier est marocain, le compositeur est koweïtien et l’interprète est égyptienne.
Le texte est tout naturellement à la base, c’est comme qui dirait « Au commencement était la parole (ou le Verbe) ». Les paroles sont signées de notre confrère Jalal Kandali. Et surtout ne pas chercher à dissocier chez la personne le côté poétique de celui journalistique. Jalal c’est les deux. Et bien plus, devrait-on préciser.
Les paroles si profondes de « Oummi » (Ma mère) n’ont pas manqué de sensibiliser au-delà de nos frontières. Et pas n’importe qui, puisqu’il s’agit du compositeur koweïtien renommé Ziyad Lmhana et de la chanteuse prometteuse Rana Atik, star incontestée de The Voice dans sa version égyptienne. Le projet a aussitôt vu le jour. Jalal Kandali a été sollicité pour donner son accord. Il ne pouvait qu’acquiescer, lui, qui au départ, destinait ses paroles à sa regrettée mère dont il était si proche et avec laquelle il avait des rapports pour le moins fusionnels. Le cœur y était assurément et l’inspiration était telle que cette fois au lieu de l’arabe classique ou du zajal marocain que Jalal maîtrise, bien entendu, à la perfection, c’est en égyptien que le doux texte a éclos. Tant il est vrai que ce Settati pur et dur a plus d’une corde à son arc.
« Mère ! Ma mère qui supportes en permanence mes soucis. Mère qui as tant veillé, tant souffert, qui m’as consacré toute ta vie… Qui d’autre peut-il, aujourd’hui, essuyer mes larmes…. ?»
Il n’en fallait pas plus pour que Rana Atik tombe sousle charme, pour ne pas dire l’emprise, de ces paroles si émouvantes et qu’elle en fasse, avec la belle complicité de Ziyad Lmhana pour la musique et Khalid Achâair pour l’arrangement musical, une chanson dédiée à toutes les mères, la sienne en premier.