Autres articles
-
Exposition de bijoux au Théatre Italia
-
Un concert aux couleurs d’été à Casablanca signé Laila Al Habash
-
Rencontre culturelle à New York sur les oeuvres du réalisateur marocain Ahmed El Maanouni
-
Rabat accueille l’univers unique de quatre figures clés de l'art contemporain new-yorkais
-
Le cinéma marocain s'invite à Manille
Le film “Al Rajoul al Ghamed Bi Salamtou” (L’homme mystérieux) du réalisateur Mohssine Ahmed, avec Bilale Fadl (scénario), est actuellement projeté au cinéma Megarama à Casablanca.
Le film est une comédie sociale, politique et satirique. Interprétée par les comédiens Hany Ramzi, Nilli Karim et Hassan Houssni, entre autres, cette production égyptienne «met en évidence les caractéristiques de la société d’aujourd’hui et toutes les difficultés que rencontrent les jeunes lorsqu’ils quittent l’université à la recherche du travail, à la quête de l’épanouissement culturel et du bien-être matériel pour eux et leurs familles». Et qui très souvent se trouvent confrontés à des situations qui les obligent à emprunter le chemin du mensonge, de l’hypocrisie et de l’arnaque.
«Ce sont des images réelles des peuples du tiers-monde à la recherche éternelle du bonheur, la sauvegarde de leurs droits citoyens et la préservation de leur dignité humaine au terme de leurs rêves d’une vie plus large, plus épanouie. Cette vie qui, pourtant, devient, pour eux très vite vaine. Car il y a la vie qu’on vit et la vie qu’on rêve».
Soulignons que la sortie officielle du film en salles a eu lieu, vendredi 10 septembre à Casablanca, en même temps qu’en Egypte.
Les cinéphiles en particulier les passionnés de films égyptiens apprécieront.
Le film est une comédie sociale, politique et satirique. Interprétée par les comédiens Hany Ramzi, Nilli Karim et Hassan Houssni, entre autres, cette production égyptienne «met en évidence les caractéristiques de la société d’aujourd’hui et toutes les difficultés que rencontrent les jeunes lorsqu’ils quittent l’université à la recherche du travail, à la quête de l’épanouissement culturel et du bien-être matériel pour eux et leurs familles». Et qui très souvent se trouvent confrontés à des situations qui les obligent à emprunter le chemin du mensonge, de l’hypocrisie et de l’arnaque.
«Ce sont des images réelles des peuples du tiers-monde à la recherche éternelle du bonheur, la sauvegarde de leurs droits citoyens et la préservation de leur dignité humaine au terme de leurs rêves d’une vie plus large, plus épanouie. Cette vie qui, pourtant, devient, pour eux très vite vaine. Car il y a la vie qu’on vit et la vie qu’on rêve».
Soulignons que la sortie officielle du film en salles a eu lieu, vendredi 10 septembre à Casablanca, en même temps qu’en Egypte.
Les cinéphiles en particulier les passionnés de films égyptiens apprécieront.