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Dans une déclaration à la MAP, M. Essabbar a ajouté que l'expérience marocaine a été saluée par les participants aussi bien en ce qui concerne les questions de la gouvernance que de la promotion et de l'intégration des normes internationales des droits de l'Homme dans les politiques gouvernementales.
Il a, en outre, indiqué que cette conférence a permis à tous les participants de découvrir l'agenda du Forum mondial des droits de l'Homme, prévu fin novembre courant à Marrakech, soulignant, à cet égard, que le CNDH a reçu de nombreuses demandes de participation à ce forum.
Concernant le thème choisi par la conférence de Doha, le secrétaire général du CNDH a relevé la pertinence de ce choix, estimant que les questions de la sécurité et des droits de l'Homme constituent les deux piliers fondamentaux de l'Etat de droit, en ce sens qu'il n'est pas possible d'envisager un encadrement sécuritaire sans une garantie des droits et libertés fondamentaux aux citoyens.
Il a relevé que cette conférence a également abordé la réalité des systèmes pénaux dans le monde arabe, caractérisés par leur focalisation sur les peines punitives au détriment de la réinsertion.
Outre le Secrétaire général du CNDH, le Maroc a été représenté à cette conférence par des responsables de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) et du ministère de l'Intérieur ainsi que des représentants de la société civile marocaine.