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L’expérience de l’écrivain et poète au centre d’un débat : Rencontre avec Mohamed Loakira à FèsMardi 2 Février 2010
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L’Institut français de Fès organise une rencontre littéraire avec Mohamed Loakira, mardi 9 février, à partir de 17h30. Le débat portera, entre autres, sur son expérience d’écriture en tant que poète et écrivain. Une expérience étalée sur plus de 40 ans et ponctuée de 10 recueils (longs poèmes) qui s’engendrent les uns les autres, et d’une trilogie comprenant : « L’esplanade des saints & cie », « A corps perdu » et « L’inavouable », relatant l’émerveillement de l’enfance et les illusions de la vie rêvée et vécue. Fervent défenseur de la lecture, de l'écriture, de l'art en général, Mohamed Loakira est considéré comme un des plus grands poètes marocains de langue française. Un homme de lettres qui n'a jamais cessé d'interroger la langue, ne s'est jamais lassé de l'enfanter en parole, en poésie pour attirer l'attention de la lecture et du public sur l'humain, le profondément humain. L'écriture de Loakira s'inscrit sans équivoque dans la modernité. « Elle opère au-delà des schémas classiques de la langue et de la rhétorique. C'est une écriture qui trace sa voie à contre-courant de tout ce qui s'oppose à la liberté, à la dissidence et à la responsabilité de l'esprit humain. C'est également une écriture marquée par le tragique, dans le sens nietzschéen du terme (primauté du corps et de la vie) et par le souffle freudien (primauté du désir et de la mémoire inconsciente). Mais il s'agit d'une modernité lucide mesurée, dans la mesure où elle ne rompt pas de manière catégorique avec certaines de nos valeurs socioculturelles spécifiques », écrivait il y a deux ans Mohammed Chraïbi. Dans l’ensemble, la production de Mohamed Loakira se caractérise par une infinité de Je et le double attrait pour la peinture et la musique. Cette relation aux arts, au langage et à l’écriture fera l’objet de débat, en s’arrêtant particulièrement sur la trame de la troisième partie de la trilogie, à savoir « L’inavouable ».
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