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Pour le président du mouvement Ennahda, la situation politique dans son pays n’est pas satisfaisante, mais «pas inquiétante». Il a précisé que «la pratique de la violence peut se manifester dans n’importe quel pays dans le monde», et que ces groupes ne peuvent représenter une menace pour le régime en place car étant appuyé par une volonté populaire réelle. En réponse à la presse sur les appréhensions de la Tunisie quant à un éventuel retour des djihadistes tunisiens de Syrie, il a souligné qu’»elles n’existent pas, mais il y a certainement des risques. Cependant, a-t-il dit, «la violence en Tunisie est un phénomène isolé». Il a affirmé que ces groupes «ne jouissent d’aucun soutien populaire; ils sont le résultat d’une réaction à la période Ben Ali (le président déchu)». M. El Ghennouchi a souligné, dans ce contexte, que «désormais, il n’existe plus aucun prétexte pour verser dans la violence, sinon l’influence de certains groupes terroristes internationaux».