-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
Evoquant les liens et l’histoire de création du Polisario, l’auteur de l’article a rappelé que les dirigeants de ce groupuscule ont adopté dès le départ une orientation marxiste et les pays le soutenant étaient attachés à la doctrine marxiste, et c’est à partir de ce moment que certains pays voisins appuient le Polisario sans tenir compte des relations de bon voisinage et des liens de religion qui devraient en principe unir fortement les peuples de la région.
L’auteur de l’article souligne également qu’il est certain que les pays qui soutiennent les séparatistes agissent de la sorte selon deux scénarios, le premier est lié au fait que le Polisario est une organisation de gauche et le second traduit la position de ces pays qui ne croient pas au retour à la mère patrie d’une partie vitale amputée au territoire d’un Etat arabe. L’article souligne également que les enquêtes médiatiques mettent en évidence les liens avérés qu’entretient le Polisario avec le terrorisme régional, rappelant dans ce sens l’article analytique sur le Sahara marocain publié récemment par “Wall Street Journal” qui affirme qu’au moment où la communauté internationale s’emploie à apaiser les foyers de tension et à préserver la paix et la sécurité, le Polisario continue de poser une sérieuse menace à la stabilité en Afrique du Nord et au Sahel. “Le Polisario est un groupe marxiste lié au terrorisme régional”, note le quotidien américain, ajoutant que le journaliste Dion Nissenbaum a fait état dans un témoignage vidéo accompagnant l’article du contexte historique de la création du mouvement séparatiste qui épouse l’idéologie marxiste, ainsi que des risques sur la paix et la stabilité en l’absence d’un règlement de la question du Sahara marocain. ‘’La situation sécuritaire dans la région rend le conflit une urgence à régler’’, fait observer Wall Street Journal, soulignant que cette réalité est devenue une conviction chez les décideurs américains à une grande échelle, et l’Administration du président Donald Trump, qui est sur plusieurs fronts pour faire face à la menace terroriste, est attentive à la situation dans la région du Sahara et du Sahel. Le journal indique, en outre, que la position de Washington “est claire” et les Etats-Unis ne soutiendront pas “un plan qui conduit à la création d’un nouvel Etat en Afrique”.