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Il faut dire que «l’homme fascine encore, toujours, car Genet reste «une somptueuse énigme littéraire». D’où le parti pris de l’Institut français de Casablanca de donner à voir, à entendre et à lire tant la fulgurance poétique de l’auteur du Condamné à mort que de suivre l’homme dans ses combats auprès des exclus et des opprimés», souligne-t-on à l’IF de Casablanca. Où il a été concocté un programme ambitieux à la dimension de l’homme et de l’écrivain avec Redjep Mitrovitsa, figure imposante du théâtre contemporain, Albert Dichy spécialiste de Jean Genet et Hélène Martin, grande dame de la chanson française. Et des documentaires inédits.
Ainsi, du 10 au 18 décembre prochain, l’IF de Casablanca proposera une série d’activités visant à rendre hommage à cet écrivain d’exception, décédé le 15 avril 1986 et enterré à Larache. A cette occasion, Redjep Mitrovitsa lira «Le condamné à mort», «Marche funèbre» et «Chant d’amour», jeudi 9 décembre à 20h et vendredi 10 décembre à 15h (séance scolaire) au Complexe culturel Sidi Belyout. Cette séance de lecture de 45 minutes est mise en espace par Gauthier Morax.
Albert Dichy animera une conférence autour du thème «Genet et le monde arabe», mardi 14 décembre à 19h à la Médiathèque de l’Institut.
Le Complexe culturel Sidi Belyout servira de cadre à la représentation, mercredi 15 décembre à 20h, du spectacle intitulé «Saluer Genet». Avec Hélène Martin et Vincent Berrhault, Gilles Blanchard, Jean-François Gaël, Brigitte de Saint, Martin et la voix de Laurent Terzieff.
Le film «Jean Genet, le contre exemplaire» de Gilles Blanchard, produit par Nadège Hasson, sera projeté du 11 au 15 décembre 2010 à l’Institut français de Casablanca.
Tout comme, «Jean Genet, le vagabond» (1910-1943) et «Jean Genet, l’écrivain» (1944-1986), un film en deux parties de Michel Dumoulin et Albert Dichy ainsi que «La Sept Ina 1992» seront projetés du 14 au 18 décembre à l’Institut.