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Plusieurs questions restent cependant en suspens et nécessitent de plus amples détails pour que l’on soit édifié sur le sort qui sera réservé à bien de branches et secteurs et à bon nombre d’apprenants.
En effet le seul « bémol » à relever dans cette déclaration pour le moins drastique concerne le baccalauréat programmé donc pour juillet s’agissant de l’examen national (2ème année) et pour septembre quant à l’examen régional (1ère année). Les épreuves devront porter sur les seuls programmes ayant été enseignées en classe jusqu’au 14 mars soit avant la fermeture des écoles. Décision inspirée sachant que tout le monde n’a pas eu accès et dans les mêmes conditions à l’enseignement à distance.
D’autres éclaircissements sont vivement attendus concernant les étudiants du supérieur ou les apprentis de l’OFPPT entre autres.
L’on précise toutefois de source officielle que pour les besoins des examens annoncés, il sera procédé à la stérilisation des établissements concernés, à la fourniture du gel hydroalcoolique et des masques de même qu’au respect des de mesures de distanciation.
Inutile de relever enfin que cette décision n’a certainement pas été prise de gaieté de cœur, mais il n’en reste pas moins qu’elle renseigne sur la gravité de la situation et sur l’importance qu’elle suscite chez les responsables. Ce qui malheureusement semble échapper à tous ceux qui font preuve d’une légèreté et d’une irresponsabilité déconcertantes vis-à-vis de cette pandémie qui continue de sévir.










