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Dans un message sur Twitter, Bahey Eldin Hassan, le directeur de l’Institut du Caire pour les droits humains, a jugé que le président Sissi avait une “responsabilité directe” dans l’emprisonnement de Chadi Habache “pour la simple raison qu’il a participé à une chanson qui le critique et parce qu’aucun juge n’ose attester de l’innocence de quelqu’un qui a critiqué le président de la République”. Pour le Réseau arabe des droits humains et de l’information (ANHRI), Habache est mort en raison de la “négligence et de l’absence de justice”. “La prison ne tue pas, c’est la solitude qui tue (...) j’ai besoin de votre soutien pour ne pas succomber (...) je meurs lentement tous les jours”, écrivait M. Habache dans une lettre en octobre 2019, publiée samedi sur Facebook par la militante des droits humains et écrivaine Ahdaf Soueif après l’annonce de son décès.
Les conditions de détention en Egypte sont régulièrement épinglées par les organisations de défense des droits humains. Et depuis début mars, en raison de la pandémie de nouveau coronavirus, les autorités ont suspendu les visites au parloir et les travaux des tribunaux, isolant plus encore les détenus.