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Des sources médicales et sécuritaires avaient dans un premier temps indiqué à l’AFP que l’attaque avait fait 18 morts et 30 blessés.
Trois voitures piégées avaient explosé en plein jour dans le centre de Bagdad, à proximité des ministères de la Culture et des Affaires étrangères. Au même moment des hommes armés avaient tenté de prendre d’assaut le bâtiment qui abrite, non loin de là, le ministère de la Justice.
Les versions diffèrent quant au déroulement de l’attaque, mais un responsable a expliqué que deux kamikazes étaient parvenus à se faire exploser à l’intérieur de l’immeuble.
L’Etat islamique d’Irak (ISI), qui regroupe les insurgés sunnites affiliés à Al-Qaïda, a revendiqué l’opération.
Ce type d’attaque est beaucoup plus rare que les attentats à la voiture piégée et assassinats ciblés qui, dix ans après l’invasion de l’Irak, continuent à ensanglanter le pays chaque jour.
Les insurgés visent régulièrement la police et l’armée, ainsi que les organes gouvernementaux dans l’espoir de déstabiliser le gouvernement du Premier ministre chiite Nouri Al-Maliki.











