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«Chkoun ana ?», s’interroge Badre au sujet de son identité. Africain, amazigh, arabe, sahraoui… ? C’est au travers des sonorités du ribab amazigh, du violon arabe, du riff de guitare africain et par la voix du raï qu’il répond à la question. Cette chanson est aussi l’occasion pour Badre, Maroco-algérien, de partager son rêve d’un Maghreb uni où la volonté des peuples serait davantage entendue et prise en compte.
Ce titre est le résultat d’une collaboration entre plusieurs artistes marocains et a été mixé et masterisé à Casablanca, au Studio Plein les oreilles.