-
Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
-
Installations immersives, IA et art génératif au programme de la 31ème édition du FIAV
-
Tomber de rideau sur le 1er Festival international des cultures de Casablanca
-
La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
Artiste d’origine colombienne, Cristina Torres vit au Maroc depuis 3 ans. Si ses œuvres ont déjà été vues sous d’autres cieux, c’est la première fois que cette jeune artiste expose son travail au Royaume. L’occasion pour le public amateur d’apprécier des œuvres empreintes d’inspiration à la fois culturelle et esthétique et peintes sur grand format. « Où l’abstraction se marie à l’hyperréalisme de façon inédite, où le rapport de l’homme à son environnement est imbibé de poésie aussi bien dans les formes que dans les tonalités », souligne-t-on à l’Institut.
Cristina Torres se distingue d’abord dans son pays avant de s’envoler vers l’Europe, grâce à une bourse qui lui en ouvre les portes. L’artiste se forgera en France lors d’une résidence artistique au Château de la Napoule (près de Cannes), puis à la Cité Internationale des Arts à Paris. Elle y acquiert une forte expérience qui lui ouvre de nouveaux horizons. Forte de cette expérience, Cristina Torres est invitée à exposer son travail à la Biennale d’art contemporain de Florence (Italie), à Miami, Panama, Tunis et à Londres.
Cristina Torres reçoit par la suite le Prix du jury au Concours international d’art contemporain de Monte Carlo Monaco. Une récompense pour la jeune artiste au talent exceptionnel.








Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
