

-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
Cette rencontre qui aura lieu le 29 janvier courant, sera marquée par une dédicace du dernier roman de Mohamed Achâari « L’Arc et le papillon » (Al Qawsou wa Lfaracha ), paru aux éditions du Centre culturel arabe.
Le roman (333 pages, petit format) qui est, selon son auteur, le prolongement de son premier roman «Janoub Arrouh» (1996), est une plongée romanesque qui frise d’ailleurs l’analyse sociologique, à travers laquelle l’auteur retrace l’histoire tragique de trois générations de la famille Al Firsioui. Et Achâari d’expliquer : «Dans +Al Quaouss Wa Al Faracha+, je présente le Maroc tel qu’il est vu et représenté par différents individus de divers horizons, un Maroc pluriel dans l’espace et le temps… C’est une reconsidération de choses considérées par plusieurs comme futiles alors qu’elles constituent l’essence même de notre vie».
Parmi les personnages du roman, l’aïeul Mohammed Al Firsioui (guide aux ruines de Volubilis), son fils Youssef Al Firsioui (qui recherche la vérité sur la mort suspecte de sa mère allemande) et enfin, le petit-fils Yacine Al Firsioui, (obnubilé par la pensée obscurantiste).