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Ledit rapport cible plus précisément les licences imposant une limitation des importations de plusieurs produits dont les voitures, le ciment et les ronds à béton, qualifiées de «mesures restrictives au commerce bilatéral» et « protectionnistes», prises sans concertation préalable avec l'UE. Pour l’Union européenne, ces restrictions s'ajoutent aux handicaps commerciaux et à l'investissement qui entravent le développement d’un climat d’affaires sain pour les opérateurs économiques européens.
Il faut rappeler que les importations de l’Algérie en provenance des pays de l’UE ont atteint, selon les services de la douane, 16,79 milliards de dollars durant les 9 premiers mois de 2016, contre 19,22 milliards de dollars pour la même période de 2015.
Le rapport souligne, par ailleurs, que le secteur de l’énergie en Algérie vit au rythme d’un «déclin tendanciel» de la production, en raison du cadre «peu propice» à l’investissement de la part des opérateurs internationaux. Selon l’UE, la chute des prix du pétrole depuis 2014 a fait que la dette extérieure totale de l’Algérie est de l’ordre de 4 milliards de dollars.
D’après des rapports de l’Union européenne, notamment de son Parlement, la donne sécuritaire constitue un point négatif, à cause de l’implication de plusieurs parties sécuritaires algériennes dans des affaires de terrorisme « louches », ainsi que dans la création de groupes agissant pour le compte des services sécuritaires, notamment dans le Sud du pays.








