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A la tribune de l'OCI, le prince héritier saoudien Salman a dénoncé "les crimes affreux" du régime syrien contre son peuple et appelé le Conseil de sécurité de l'ONU, jusque-là bloqué par les Russes et les Chinois, à "agir pour finaliser la transition du pouvoir". Dans leur projet de déclaration finale, que Reuters s'est procuré mardi, les pays membres de l'OCI soulignent que le gouvernement syrien est le premier responsable des violences dans le pays et l'exhortent à ouvrir des discussions sur la transition, sans mentionner le nom d'Assad.
L'Iran a tiqué sur la formulation, disent cependant des diplomates, et les critiques contre Damas pourraient être adoucies dans le communiqué final. Le texte de l'OCI appelle parallèlement l'opposition syrienne à accélérer la formation d'un gouvernement de transition et "à se tenir prête à assumer la responsabilité politique pleine et entière jusqu'au terme du processus de changement politique voulu".
L'OCI, qui a suspendu la participation de la Syrie en août dernier, "enjoint au régime syrien de faire preuve de sagesse et appelle à un dialogue sérieux entre la coalition nationale de la révolution syrienne, les forces d'opposition et les représentants du gouvernement syrien engagés dans une transformation politique en Syrie et qui n'ont pas été directement impliqués dans la répression, sous quelque forme que ce soit".