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"La République islamique d'Iran est prête à engager des négociations selon un calendrier précis", a déclaré M Zarif.
Pour lui, "l'existence d'une volonté politique sérieuse (parmi les grandes puissances) pour reconnaître les droits légitimes nucléaires de l'Iran (...) sera la bonne approche pour régler cette question".
L'Iran qui affirme que son programme nucléaire est uniquement pacifique, contrairement aux accusations occidentales, demande la reconnaissance de ses droits dans ce domaine.
Mme Ashton, qui représente dans les négociations les cinq membres permanents du conseil de sécurité de l'ONU (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Chine) plus l'Allemagne, a téléphoné samedi à M. Zarif pour le féliciter de ses nouvelles fonctions et souligner "sa détermination et son engagement sans faille pour rechercher une solution diplomatique à la question du nucléaire iranien", selon son porte-parole.
Elle a insisté sur "la nécessité d'engager des négociations substantielles qui mèneront en souplesse à des résultats concrets", et convenu avec M. Zarif de se rencontrer bientôt, a précisé le porte-parole de Mme Ashton. Cette rencontre pourrait avoir lieu en marge de l'Assemblée générale de l'ONU en septembre.
Le président iranien Hassan Rohani, qui a pris ses fonctions début août, a déclaré la semaine dernière que l'Iran était prêt à des "négociations sérieuses sans perte de temps" avec les grandes puissances sans toutefois renoncer aux "droits indéniables" de Téhéran en matière nucléaire, notamment en ce qui concerne l'enrichissement d'uranium, principale source d'inquiétude des Occidentaux et d'Israël.