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L'Institut Royal de la culture amazighe (IRCAM) a célébré, mardi à Rabat, le nouvel an amazigh 2970, sous le slogan "Valorisation du patrimoine culturel matériel et immatériel".
La célébration de cet événement vient rappeler la portée culturelle, symbolique et anthropologique qui distinguent cette occasion, ancrée dans l'histoire du Maroc, mais aussi dans celle, plus large, de l'Afrique du Nord.
La célébration de cette occasion et les rituels collectifs qui l'accompagnent constituent également un moment propice au transfert de connaissances et d'idées entre les générations, permettant ainsi le partage de sa popularité et des éléments de sa mémoire et de son histoire, entre les individus et les groupes.
S'exprimant dans une déclaration à la presse, le doyen de l'IRCAM, Ahmed Boukouss, a indiqué que l'institut fête cette journée, profondément enracinée dans l'histoire, qui vient rappeler l'année agricole amazighe et l'intérêt accordé à l'individu, dans la mesure où il s'agit d'un événement qui met à l'honneur le lien entre l'humanité et la nature.
L'institut, a-t-il ajouté, organisera une table ronde sur le thème "La place des droits culturels dans le modèle de développement souhaité", vu l'importance dont jouit la culture en tant que symbole, capital matériel et valeur précieuse pour certains peuples, allant au-delà de la valeur économique matérielle et industrielle.
Pour sa part, Driss Azdoud, chercheur au sein de l'institut, a souligné que la célébration du nouvel an sera marquée par l'organisation d'une exposition de toiles, aperçu d'un travail qui s'est étendu sur dix ans et représentant l'attention que porte l'institut à l'art national en général et amazigh en particulier.
M. Azdoud a, dans ce sens, précisé que l'institut a réussi à collecter un fonds considérable de tableaux estimé à 250 toiles, notant que 96 artistes sont passés par l'IRCAM, et faisant part de sa fierté quant au nombre d'artistes ayant contribué à cette manifestation.
Selon les organisateurs, la célébration du nouvel an amazigh par les populations nord-africaines, depuis des siècles maintenant, perpétue une longue tradition liée, dans un premier temps, à une symbolique identitaire qui reflète le lien avec la terre et ses richesses consacrant, par ailleurs, la nouvelle année agricole, et dans un second temps, une symbolique qui incarne le patrimoine culturel amazigh particulièrement, et marocain en général.
Au programme de cette célébration la projection d'un film retraçant les principales actions et activités de l'IRCAM en matière d'éducation et d'encadrement, une exposition de toiles dans le cadre de la résidence artistique à l'institut, et un spectacle musical par le groupe Abdelouahed Hajjaoui pour la musique traditionnelle, outre des cérémonies en hommage à un parterre d'artistes.
La célébration de cet événement vient rappeler la portée culturelle, symbolique et anthropologique qui distinguent cette occasion, ancrée dans l'histoire du Maroc, mais aussi dans celle, plus large, de l'Afrique du Nord.
La célébration de cette occasion et les rituels collectifs qui l'accompagnent constituent également un moment propice au transfert de connaissances et d'idées entre les générations, permettant ainsi le partage de sa popularité et des éléments de sa mémoire et de son histoire, entre les individus et les groupes.
S'exprimant dans une déclaration à la presse, le doyen de l'IRCAM, Ahmed Boukouss, a indiqué que l'institut fête cette journée, profondément enracinée dans l'histoire, qui vient rappeler l'année agricole amazighe et l'intérêt accordé à l'individu, dans la mesure où il s'agit d'un événement qui met à l'honneur le lien entre l'humanité et la nature.
L'institut, a-t-il ajouté, organisera une table ronde sur le thème "La place des droits culturels dans le modèle de développement souhaité", vu l'importance dont jouit la culture en tant que symbole, capital matériel et valeur précieuse pour certains peuples, allant au-delà de la valeur économique matérielle et industrielle.
Pour sa part, Driss Azdoud, chercheur au sein de l'institut, a souligné que la célébration du nouvel an sera marquée par l'organisation d'une exposition de toiles, aperçu d'un travail qui s'est étendu sur dix ans et représentant l'attention que porte l'institut à l'art national en général et amazigh en particulier.
M. Azdoud a, dans ce sens, précisé que l'institut a réussi à collecter un fonds considérable de tableaux estimé à 250 toiles, notant que 96 artistes sont passés par l'IRCAM, et faisant part de sa fierté quant au nombre d'artistes ayant contribué à cette manifestation.
Selon les organisateurs, la célébration du nouvel an amazigh par les populations nord-africaines, depuis des siècles maintenant, perpétue une longue tradition liée, dans un premier temps, à une symbolique identitaire qui reflète le lien avec la terre et ses richesses consacrant, par ailleurs, la nouvelle année agricole, et dans un second temps, une symbolique qui incarne le patrimoine culturel amazigh particulièrement, et marocain en général.
Au programme de cette célébration la projection d'un film retraçant les principales actions et activités de l'IRCAM en matière d'éducation et d'encadrement, une exposition de toiles dans le cadre de la résidence artistique à l'institut, et un spectacle musical par le groupe Abdelouahed Hajjaoui pour la musique traditionnelle, outre des cérémonies en hommage à un parterre d'artistes.