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Crée en 2013, ce prix récompense l’œuvre (roman ou recueil de nouvelles) d’un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d’un ouvrage écrit ou traduit en français et publié entre le 1er septembre 2019 et le 31 août 2020.
Les éditeurs ou écrivains qui souhaitent proposer un ouvrage éligible au prix doivent le faire avant le 30 juin 2020, indique l’IMA dans un communiqué, ajoutant que la sélection des 6 à 8 ouvrages finalistes sera annoncée début septembre. Selon la même source, "les ouvrages retenus seront soumis aux membres du jury, composé d’éminentes personnalités du monde des médias, des arts et de la culture, ainsi que de spécialistes du monde arabe, qui se réuniront ensuite pour désigner le (ou la) lauréat(e)".
Le Prix sera décerné lors d’une cérémonie au siège de l’Institut du monde arabe à Paris à l’automne 2020.
Depuis sa création par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe, le Prix de la littérature arabe a été remis au Libanais Jabbour Douaihy (2013), à l’Égyptien Mohamed al-Fakharany (2014), au Saoudien Mohammed Hasan Alwan (2015), à l’Irakienne Inaam Kachachi (2016), à l’Irakien Sinan Antoon (2017), à l’Anglo-Égyptien Omar Robert Hamilton (2018) et en 2019 à l’égyptien Mohammed Abdelnabi pour son roman La Chambre de l’araignée (Actes Sud / Sindbad). En 2017, une mention spéciale avait été attribuée à l’écrivaine marocaine Yasmine Chami pour son roman « Mourir est un enchantement ». En 2019, une autre écrivaine marocaine, Leïla Bahsaïn, était en lice pour ce Prix avec son roman « Le Ciel sous nos pas », paru chez Albin Michel.