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Tenue à Dakhla de la 2ème édition du Colloque sur la pédagogie de la culture hassanie
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Colloque africain sur les mutations intellectuelles et le développement à Laâyoune
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L’hommage de la SNRT à des pionniers des ondes : Pour relier le passé éternel au présent revivifié
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Des chercheurs mettent en lumière la présence marocaine à Al-Qods et en Palestine
Lors de ce festival dédié à la musique soufie, Lemma Becharia, formée par la chanteuse Souad Asla, partagera la scène de cette ville, célèbre pour son festival gnawa, avec des troupes marocaines, égyptienne, britannique ou encore américaine. Cette troupe assurera une première représentation le 18 août et un second passage, en fusion, avec l'ensemble locale "Haddarates Souiryattes" pour le spectacle de clôture.
La plasticienne Linda Bougherara exposera, pour sa part, une collection intitulée "Entre terre et mer" au musée de la ville qui abritera également un hommage au dramaturge, comédien et metteur en scène marocain,Tayeb Seddiki, disparu en février 2016.
Fondée en 2015 par Souad Asla, "Lemma Becharia" est le fruit d'une résidence de création organisée à Taghit afin de rassembler les chants et musiques traditionnels transmis oralement et qui sont menacés de disparition.
Jouant du bendir, du tbel, des karkabou, la formation, composée d'une dizaine de chanteuses et musiciennes, dont la doyenne est âgée de plus de 80 ans, propose un spectacle alliant plusieurs styles dont El "Ferda" féminine et le diwan, mais aussi des chants traditionnels des "Zeffanates" et "Djebbaryates".
Fondé en 2013 le Festival international de la hadra féminine et musiques de transe vise à promouvoir ces musiques spirituelles féminines, dans le sillage du succès remporté d'année en année par le Festival gnawa d'Essaouira.