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Kristen Stewart, 24 ans, devenue vendredi la première actrice américaine à remporter à Paris un César pour son second rôle dans “Sils Maria” d’Olivier Assayas, a percé grâce aux blockbusters mais a toujours eu un penchant pour le cinéma d’auteur. “Je t’aime Juliette!”, a lancé en anglais Kristen Stewart, très émue, à l’actrice Juliette Binoche qui joue avec elle dans le film. “Tu m’as présenté un univers qui pour une jeune actrice américaine est absolument extraordinaire, tu es une de mes personnes préférées au monde !”, a-t-elle ajouté.
Elle a aussi dit, s’adressant maintenant à tous: “Je ne parle pas français, mais je promets de travailler dessus!”.
La jeune Américaine, étonnante dans le rôle de Valentine, jeune assistante de l’actrice quadragénaire Maria Anders (Juliette Binoche), avait fait valoir lors de la promotion que les points de vue du film n’étaient “pas pré-formatés comme ceux des films américains”. “C’est une occasion rare pour une jeune actrice, une actrice américaine, que de tourner dans un tel film”, avait-elle expliqué. “Ce n’est pas un film qui pense à votre place: il vous fait réfléchir”, dit-elle, “honorée” d’avoir travaillé aux côtés de Juliette Binoche dans une œuvre qui explore les relations d’amour-jalousie entre deux femmes.
Si elle est mondialement connue grâce à la saga cinématographique commerciale “Twilight”, Kristen Stewart n’en est pas à son coup d’essai dans le cinéma d’auteur.
Dans “Still Alice”, elle incarne la fille de Julianne Moore -nommée pour l’Oscar de la meilleure actrice-, une enseignante atteinte de la maladie d’Alzheimer.
En 2010, “Welcome to the Riley’s”, dans lequel elle jouait le rôle d’une jeune fille un peu paumée, lui avait rapporté un Bafta (le César britannique) du meilleur espoir et le trophée de meilleure actrice au Festival international du film de Milan.
Kristen Stewart fait confiance à son instinct et n’hésite pas à accepter des rôles difficiles pour de maigres cachets. Pour son rôle dans l’adaptation cinématographique de “Sur la route”, le livre culte de Jack Kerouac, en 2012, elle a ainsi gagné moins de 200.000 dollars, pas grand-chose au regard des sommes astronomiques généralement versées à Hollywood.
Elle a aussi dit, s’adressant maintenant à tous: “Je ne parle pas français, mais je promets de travailler dessus!”.
La jeune Américaine, étonnante dans le rôle de Valentine, jeune assistante de l’actrice quadragénaire Maria Anders (Juliette Binoche), avait fait valoir lors de la promotion que les points de vue du film n’étaient “pas pré-formatés comme ceux des films américains”. “C’est une occasion rare pour une jeune actrice, une actrice américaine, que de tourner dans un tel film”, avait-elle expliqué. “Ce n’est pas un film qui pense à votre place: il vous fait réfléchir”, dit-elle, “honorée” d’avoir travaillé aux côtés de Juliette Binoche dans une œuvre qui explore les relations d’amour-jalousie entre deux femmes.
Si elle est mondialement connue grâce à la saga cinématographique commerciale “Twilight”, Kristen Stewart n’en est pas à son coup d’essai dans le cinéma d’auteur.
Dans “Still Alice”, elle incarne la fille de Julianne Moore -nommée pour l’Oscar de la meilleure actrice-, une enseignante atteinte de la maladie d’Alzheimer.
En 2010, “Welcome to the Riley’s”, dans lequel elle jouait le rôle d’une jeune fille un peu paumée, lui avait rapporté un Bafta (le César britannique) du meilleur espoir et le trophée de meilleure actrice au Festival international du film de Milan.
Kristen Stewart fait confiance à son instinct et n’hésite pas à accepter des rôles difficiles pour de maigres cachets. Pour son rôle dans l’adaptation cinématographique de “Sur la route”, le livre culte de Jack Kerouac, en 2012, elle a ainsi gagné moins de 200.000 dollars, pas grand-chose au regard des sommes astronomiques généralement versées à Hollywood.