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Il s’agit de l’un des films marocains les plus primés aux festivals internationaux ces derniers temps. «Kilikis, la cité des hiboux» du réalisateur Azelarabe Alaoui, continue de creuser son bonhomme de chemin, prouvant ainsi la qualité artistique de cette œuvre.
Après l’Algérie, l’Egypte, la France, l’Espagne, l’Italie, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, le Bangladesh, l’Inde et l’Autriche, le film «Kilikis, la cité des hiboux» a été officiellement sélectionné au Festival de cinéma africain de Mashariki (MAAFF) pour sa cinquième édition qui se déroulera du 24 au 31 mars 2019 à Kigali –Rwanda- sous le thème «Le cinéma pour éclairer l'humanité». Il vient également de remporter le prix du meilleur film étranger au Canada.
Le réalisateur dont le film a été projeté un peu partout, exprime son satisfecit et évoque le triomphe du cinéma marocain : « Toute ma reconnaissance à tous ceux qui se réjouissent de la réussite du cinéma marocain ».
« La cité des hiboux » qui met en jeu des acteurs confirmés tels que Mohamed Rzine, Naima Lamcharki, Amine Naji, Hassan Badida et Kamal Kadimi, raconte l’histoire d’un village où vivent les familles des gardiens d’une prison située au pied du Haut Atlas, restée secrète jusqu’au début des années 90. Les habitants du village ne savent rien de ce qui se passe à l’intérieur de la prison, mais doivent tout simplement éviter tout contact avec des prisonniers considérés comme «étrangers et ennemis de la nation».
Les gardiens qui passent leur temps à surveiller la prison reliée à la cité par une passerelle suspendue à un ravin très profond, se rendent compte, en effet, qu’ils ont aussi le même destin, puisque «La cité des hiboux » est une grande prison où, en réalité, tout le monde est incarcéré, détenus, gardiens et familles.
« J’ai déployé beaucoup d’efforts pour réaliser ce film, car ce que nous faisons avec amour atteint toujours les cœurs, mais je reste ému pour l’accueil chaleureux du film par le public, national et international », déclare Azelarabe Alaoui, lors de la projection de son film à Tanger.
Soulignons par ailleurs que le film s’inspire de faits réels, notamment de l’histoire du douar de Tazmamert, mitoyen de la célèbre prison secrète éponyme.
Pour rappel, le film s’est distingué à maintes reprises dans différents festivals, en particulier à Oran, en Algérie (prix de la réalisation), au Festival d’Alexandrie (prix Al Qods), et au Festival « Cinéalma » à Carros en France.
Après l’Algérie, l’Egypte, la France, l’Espagne, l’Italie, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, le Bangladesh, l’Inde et l’Autriche, le film «Kilikis, la cité des hiboux» a été officiellement sélectionné au Festival de cinéma africain de Mashariki (MAAFF) pour sa cinquième édition qui se déroulera du 24 au 31 mars 2019 à Kigali –Rwanda- sous le thème «Le cinéma pour éclairer l'humanité». Il vient également de remporter le prix du meilleur film étranger au Canada.
Le réalisateur dont le film a été projeté un peu partout, exprime son satisfecit et évoque le triomphe du cinéma marocain : « Toute ma reconnaissance à tous ceux qui se réjouissent de la réussite du cinéma marocain ».
« La cité des hiboux » qui met en jeu des acteurs confirmés tels que Mohamed Rzine, Naima Lamcharki, Amine Naji, Hassan Badida et Kamal Kadimi, raconte l’histoire d’un village où vivent les familles des gardiens d’une prison située au pied du Haut Atlas, restée secrète jusqu’au début des années 90. Les habitants du village ne savent rien de ce qui se passe à l’intérieur de la prison, mais doivent tout simplement éviter tout contact avec des prisonniers considérés comme «étrangers et ennemis de la nation».
Les gardiens qui passent leur temps à surveiller la prison reliée à la cité par une passerelle suspendue à un ravin très profond, se rendent compte, en effet, qu’ils ont aussi le même destin, puisque «La cité des hiboux » est une grande prison où, en réalité, tout le monde est incarcéré, détenus, gardiens et familles.
« J’ai déployé beaucoup d’efforts pour réaliser ce film, car ce que nous faisons avec amour atteint toujours les cœurs, mais je reste ému pour l’accueil chaleureux du film par le public, national et international », déclare Azelarabe Alaoui, lors de la projection de son film à Tanger.
Soulignons par ailleurs que le film s’inspire de faits réels, notamment de l’histoire du douar de Tazmamert, mitoyen de la célèbre prison secrète éponyme.
Pour rappel, le film s’est distingué à maintes reprises dans différents festivals, en particulier à Oran, en Algérie (prix de la réalisation), au Festival d’Alexandrie (prix Al Qods), et au Festival « Cinéalma » à Carros en France.