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L’option de travailler en duo avec des chanteurs algériens semble de plus en plus passionner cette star marocaine, qui a fait part également d’une œuvre musicale similaire qu’elle devrait perfectionner avec cheb Faudel. «J’ai toujours été éprise par le chant algérien. Les mélodies algériennes constituent une référence de taille pour ma carrière artistique», a souligné Latifa Raefat qui a su «par son art et sa manière» décrocher le «pompon» de la 8e soirée de ce Festival annuel.
Ces projets musicaux devront voir le jour «incessamment», a assuré cette artiste précisant qu’outre ces deux produits, plusieurs autres oeuvres signées Latifa Raefat sont à l’ordre du jour. Revenant sur son expérience artistique avec Mohammed Lamine et Samir Toumi, l’artiste marocaine a indiqué que son «aventure en Algérie était fructueuse sur tous les plans». Elle a, en outre, affirmé qu’elle assume pleinement son choix d’être une chanteuse du style marocain. «J’ai préféré par amour et par conviction m’installer au Maroc. J’ai mon public et je ne me plains pas du tout», a-t-elle assuré. Adorée par le public algérien, cette star, est parvenue, lors de son concert, à enflammer par ses rimes populaires et folkloriques les nombreux spectateurs venus de Constantine, Batna et d’Alger rien que pour apprécier ses envolées enthousiastes. Tout en faisant savoir qu’elle vouait un amour à l’Algérie et aux Algériens, Latifa Raefat a indiqué qu’elle a été agréablement touchée en voyant les Marocains «pleurer et sourire pour la cause algérienne lors de la dernière Coupe du monde» de football.








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