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Le jury était présidé par Laurent Joffrin et composé de nombreux journalistes de renom dont Bernard Pivot, Christine Ockrent, Philippe Tesson, Sébastien Le Fol, Valérie Toranian, ou encore Patrick Poivre d’Arvor et Jean-Marie Rouart.
«Ce prix m’honore, me touche et m’émeut. Ça honore également la mémoire du journalisme en Algérie», a souligné Kamel Daoud, avant de préciser que cela évoque pour lui «la mémoire des journalistes algériens des années 1990».
Né en 1970 à Mostaganem (300 km à l’ouest d’Alger), Kamel Daoud a suivi des études de lettres françaises après un bac en mathématiques. En Algérie, il est chroniqueur au Quotidien d’Oran – troisième quotidien national francophone d’Algérie –, où il a longtemps été rédacteur en chef, mais aussi à El Watan et sur le site Impact 24. En France, il est éditorialiste au journal Le Point, où il tient une chronique hebdomadaire. Il est également une signature régulière du New York Times, aux États-Unis, et de La Repubblica, en Italie.
Écrivain, Kamel Daoud est l’auteur d’un roman salué dans le monde entier, «Meursault, contre-enquête», publié en Algérie par les éditions Barzakh et en France par Actes Sud en 2014. Ce livre lui a valu le Prix Goncourt du premier roman. Il a également écrit plusieurs récits, dont certains ont été réunis dans le recueil «Le Minotaure 504» (Sabine Wespieser éditeur, 2011) – initialement paru à Alger sous le titre «La Préface du nègre» (éditions Barzakh, 2008) et distingué par le prix Mohammed Dib du meilleur recueil de nouvelles en 2008. Kamel Daoud vit à Oran, en Algérie.