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Le général Ismail Ahmadi Moghaddam a précisé que le nombre de personnes interpellées pourrait être plus important car les miliciens de l’organisation Basij et les services de renseignements ont pu appréhender d’autres gens de leur côté, selon des propos rapportés par l’agence de presse officielle IRNA. Le chef de la police iranienne a prévenu qu’il ne ferait preuve d’”aucune pitié” face à de nouvelles manifestations de l’opposition. “Dans les précédentes manifestations, la police a été clémente, mais étant donné que ces courants cherchent à renverser (le pouvoir), il n’y aura pas de pitié. Nous prendrons des mesures sévères”, a déclaré le général Ismail Ahmadi Moghaddam.
“Le temps de la tolérance est terminé. Tout participant à ces manifestations sera réprimé”, a-t-il menacé.
L’agence de presse semi-officielle Fars a avancé que le neveu du chef de l’opposition Mir Hossein Mousavi, une des victimes des violences de dimanche, a été enterré hier. Les autorités avaient retiré le corps de l’hôpital en début de semaine, dans ce qui semblerait être une manoeuvre pour éviter que les obsèques se transforment en une manifestation.
Le haut commissaire de l’ONU pour les droits de l’Homme Navi Pillay s’est déclarée “choquée par la vague de morts, de blessés et d’arrestations” en Iran. Elle a exhorté le gouvernement à appeler les forces de l’ordre à un usage modéré de la force. Elle rappelle le droit des gens à manifester pacifiquement sans être battus ou jetés en prison.

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