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Naoufal Bouamri : Cette nouvelle réalité reflète la qualité de la présence« Il s’agit de la consécration d'une réalité imposée par le Maroc depuis son retour à sa famille africaine et par le fait que la présence des pantins du polisario est devenue indésirable dans plusieurs sommets réunissant l'Union africaine (UA) avec certains pays et blocs régionaux ».
forte, positive et influente du Maroc au sein des instances de l'UA
C’est le commentaire fait par Naoufal Bouamri, expert en droit international et spécialiste de la question du Sahara marocain, suite à la décision importante prise récemment par l’UA visant à interdire la participation de la pseudo-rasd aux grands forums internationaux réunissant l'organisation continentale avec les principaux pays du monde, tels que la Chine, l'Amérique, la Russie et le Japon, ainsi qu'à d'autres réunions à l’échelle internationale.
Selon Naoufal Bouamri, les milices séparatistes ont été déclarées persona non grata dans tous les sommets des pays arabes et ceux tenus avec les grandes puissances, telles que la Russie, la Chine, le Japan, etc.
« Les rares fois où cette entité chimérique y a participé (via des manœuvres frauduleuses bien évidemment), cela a créé des problèmes d'organisation et des tensions politiques et diplomatiques, la plus récente étant celle avec la Tunisie, lorsque Kaïs Saïed a reçu le chef du polisario, ce qui a entraîné le retrait par le Maroc de son ambassadeur en Tunisie », a précisé Naoufal Bouamri.
Et le spécialiste de la question du Sahara marocain d’ajouter : « Cette nouvelle réalité imposée par le Maroc reflète, d'une part, la qualité de la présence forte, positive et influente du Maroc au sein des instances de l'UA, et la compréhension des pays africains que la présence des miliciens du polisario est devenue un lourd fardeau qui bloque le bon fonctionnement de l’UA et nuit à ses relations avec les partenaires internationaux, d’autre part, d’où l’importance de cette nouvelle décision».
A rappeler que cette décision, prise lors de la 45e session du Conseil exécutif de l'UA (18-19 juillet), constitue un tournant important dans la position africaine à l'égard de la fantasmagorique rasd soutenue par le régime algérien, attestant que la présence de cette entité fantoche au sein de l’UA entrave, voire empoisonne les relations de cette dernière avec les grandes puissances mondiales, selon les observateurs.
Ceux-ci affirment également que sa présence au sein de l’UA constitue une entorse au droit international, étant donné que cette entité chimérique ne dispose d’aucun élément constitutif d’un Etat digne de ce nom, à savoir un territoire, une population et un gouvernement. Pour eux, le fait que la pseudo-rasd soit membre de cette organisation panafricaine est une anomalie à laquelle il faut mettre un terme.
M. T