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Son nom, c’est Valve. Son créneau, les jeux vidéo comme Counter-Strike ou Half-Life. Et depuis 15 ans, l’entreprise fonctionne sans patron, ni organisation hiérarchique. Plus qu’une simple décision, travailler sans l’autorité de quiconque est une véritable philosophie pour l’entreprise qui pèse pour l’instant près de 1 milliard de dollars, soit 775 millions d’euros. Mais alors comment fonctionne au quotidien une boîte où chaque salarié est l’égal de son voisin ?
Fondée par deux anciens du géant Microsoft, Valve a une doctrine et une seule : chaque salarié est force de proposition et doit convaincre ses collègues de voter pour lui, selon les informations de Néon Magazine. Aucune équipe n’est préalablement constituée, tous s’organisent autour d’un projet, pas d’un chef. Détail anecdotique pour certains, révolution pour d’autres, les bureaux sont montés sur des roulettes et permet aux équipes de se former plus facilement dans l’open-space. Ainsi, la mobilité et le dynamisme ne sont pas des vains mots, ces deux qualités essentielles à la prospérité d’une société, se répercutent concrètement dans la vie de l’entreprise. Et ça marche !
Valve revendique plus de 300 salariés, et tous sont visiblement très heureux d’être là. Et surtout, il y a une bonne ambiance de travail. “En 16 ans, les rares employés à avoir quitté Valve l’ont fait pour des raisons personnelles”, précise Gabe Newell, un des fondateurs, toujours d’après Néon. L’éditeur de jeux vidéo est même en passe d’être racheté par le mastodonte Electronic Arts. Mais la firme n’est pour autant pas naïve. Les primes et les plus hauts revenus sont indexés sur un classement individuel des salariés, avec un système de notes, décernés par les employés eux-mêmes. Du plus créatif au moins innovant.
Valve est une pionnière du genre et fait déjà des émules dans le petit monde de la Silicon Valley. Sur le créneau du jeu vidéo, Valve est l’entreprise la mieux notée par ses salariés sur le site Glassdoor, qui recense des témoignages d’employés affirme Néon. L’entreprise a réussi avec cette nouvelle façon de travailler, à créer une réelle synergie de travail. Moins de pression, plus de productivité. Et si c’était cela la recette de la réussite ?
Fondée par deux anciens du géant Microsoft, Valve a une doctrine et une seule : chaque salarié est force de proposition et doit convaincre ses collègues de voter pour lui, selon les informations de Néon Magazine. Aucune équipe n’est préalablement constituée, tous s’organisent autour d’un projet, pas d’un chef. Détail anecdotique pour certains, révolution pour d’autres, les bureaux sont montés sur des roulettes et permet aux équipes de se former plus facilement dans l’open-space. Ainsi, la mobilité et le dynamisme ne sont pas des vains mots, ces deux qualités essentielles à la prospérité d’une société, se répercutent concrètement dans la vie de l’entreprise. Et ça marche !
Valve revendique plus de 300 salariés, et tous sont visiblement très heureux d’être là. Et surtout, il y a une bonne ambiance de travail. “En 16 ans, les rares employés à avoir quitté Valve l’ont fait pour des raisons personnelles”, précise Gabe Newell, un des fondateurs, toujours d’après Néon. L’éditeur de jeux vidéo est même en passe d’être racheté par le mastodonte Electronic Arts. Mais la firme n’est pour autant pas naïve. Les primes et les plus hauts revenus sont indexés sur un classement individuel des salariés, avec un système de notes, décernés par les employés eux-mêmes. Du plus créatif au moins innovant.
Valve est une pionnière du genre et fait déjà des émules dans le petit monde de la Silicon Valley. Sur le créneau du jeu vidéo, Valve est l’entreprise la mieux notée par ses salariés sur le site Glassdoor, qui recense des témoignages d’employés affirme Néon. L’entreprise a réussi avec cette nouvelle façon de travailler, à créer une réelle synergie de travail. Moins de pression, plus de productivité. Et si c’était cela la recette de la réussite ?