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En mars 2007, des dizaines de policiers avaient été tués dans le même Etat dans une attaque attribuée aux maoïstes. Mi-février, des maoïstes avaient lancé une spectaculaire attaque contre un campement policier dans l'est de l'Inde, faisant 25 morts. Les rebelles maoïstes, qui seraient entre 10.000 et 20.000, disent lutter pour la défense des paysans sans terre et des tribus. Selon le Premier ministre indien Manmohan Singh, ils représentent la plus grande menace pour la sécurité du pays.
Vingt des 29 Etats indiens, en particulier les Etats du Jharkhand et de l'Orissa, sont confrontés depuis 1967 à des poches de rébellion maoïste, devenue, au fil des ans, de plus en plus violente.
Un dirigeant maoïste avait proposé fin février au gouvernement un cessez-le-feu à condition que New Delhi suspende l'offensive des forces de sécurité lancée récemment pour les déloger de leurs bastions.
Le ministre de l'Intérieur avait alors réagi prudemment, réaffirmant que les guérilleros devaient d'abord mettre un terme à leurs attaques et faire une offre formelle.