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SAR la Princesse Lalla Hasnaa offre à Bakou une cérémonie de thé en l’honneur de personnalités féminines azerbaïdjanaises du monde de la culture et des arts
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Tenue à Dakhla de la 2ème édition du Colloque sur la pédagogie de la culture hassanie
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Colloque africain sur les mutations intellectuelles et le développement à Laâyoune
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L’hommage de la SNRT à des pionniers des ondes : Pour relier le passé éternel au présent revivifié
De son vivant, Elvis n’atteignait pas la moitié dans ses années record!
Ce n’est pas la seule source d’étonnement. On croyait que tout était dit, et qu’il restait seulement aux journalistes à écrire sur le thème «Elvis est vivant», «la fille cachée d’Elvis», etc.
Aujourd’hui, pourtant, commencent à poindre quelques témoignages sincères.
Pas de grandes révélations, certes. Mais justement, de ces petits détails qui permettent enfin de deviner, derrière le masque de l’idole, la vie et les réels sentiments d’Elvis, ni dieu, ni diable, humain tout simplement.
L’angoisse de la pauvreté
Un nouveau livre de Larry Geller !... Il faut préciser que Larry Geller en est à son troisième ouvrage sur Elvis dont il fut le coiffeur et qu’il parvint à passionner pour la parapsychologie et les sciences occultes. Son influence semblait suffisamment forte pour que le colonel Parker, le tout puissant manager d’Elvis , fasse de lui son ennemi personnel ! Crédible, Larry Geller ? En tout cas, depuis ses premiers livres, sans doute un peu trop marqués par sa tendance à voir partout des phénomènes paranormaux, il semble avoir retrouvé les pieds sur terre et, dans «Il I can dream : Elvis own story», rapporte principalement le genre de préoccupation typique dont Elvis comme n’importe quel client, peut parler avec son coiffeur : le «look»…
Ainsi, chez la femme, la partie du corps qui attirait particulièrement son attention était … le pied!. En ce qui le concernait, Elvis effectuait de nombreuses visites chez le dentiste, en témoigne sa denture éclatante. Après sa rencontre historique avec les quatre Beatles, chez lui en août 1965, il confia même à Geller : «Il y a une chose que je ne comprends pas chez eux : leurs dents! Dans quel état elles sont? Ils ont pourtant assez d’argent pour les faire arranger … ».
De quoi mordre à belles dents dans ce nouveau témoignage.