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Le malaise social a commencé lorsque les salariés de l’hôtel ont élu leur bureau syndical. Le patron qui n’a pas accepté qu’un syndicat « s’immisce » dans « ses » affaires, a contre-attaqué en procédant à des licenciements abusifs et arbitraires. Le directeur, ancien guide touristique dans la région, a commencé lorsqu’une femme de ménage, innocente, l’a prié respectueusement de cesser de déverser tous les termes malsains. Puis le tour de quelques salariés est venu quand ils ont osé sortir avant la fin d’une réunion informelle qu’il présidait. Pour les syndicalistes, il n’avait pas besoin de prétexte. Leur seul tort est déjà là, c’est-à-dire d’avoir exercé leur droit syndical, droit constitutionnel indéniable.
Et les autorités dans tout cela ? L’inspecteur de travail avoue dans l’un des derniers procès-verbaux qu’il a dûment signé qu’il s’agit d’un licenciement abusif. Le même refrain est reprise par les membres des différents services de la province incapables de pouvoir contraindre le patron de l’hôtel Xaluca à revenir sur ses décisions.