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S'exprimant à la tribune de l'Assemblée générale des Nations unies quelques heures après Barack Obama, Hassan Rohani s'est dit prêt à s'engager dans des discussions fondées sur un calendrier et un objectif précis pour régler avec les grandes puissances le dossier du nucléaire iranien.
Les deux hommes ne se sont pas rencontrés. Des responsables américains ont expliqué que le camp iranien jugeait que l'organisation d'une poignée de mains était trop compliquée. Hassan Rohani a dit de son côté que les deux parties n'avaient pas eu suffisamment de temps pour que la rencontre soit rendue possible.
Si la teneur du discours du président iranien n'avait pas les accents anti-occidentaux que prenaient ceux de son prédécesseur Mohammed Ahmadinejad, il n'a fait aucune concession, répétant la position officielle de Téhéran selon laquelle la République islamique ne s'intéressait pas à l'arme atomique.
Evitant soigneusement de remettre en question le droit à l'existence d'Israël, il a toutefois critiqué le traitement que subissent les Palestiniens.
Interrogé par la chaîne de télévision américaine CNN, il a créé la surprise en reconnaissant l'existence de l'Holocauste, contrairement à son prédécesseur Mahmoud Ahmadinejad qui le niait.
Le ministre israélien des Affaires étrangères Yuval Steinitz a réagi en accusant le président iranien de jeter de la poudre aux yeux.