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La lauréate de "Studio 2M", Hasna Zalagh, évolue lentement mais sûrement. Après son succès à la chaîne d’Ain Sebaâ, elle ne cesse de gravir les échelons et d'attirer les producteurs en quête de voix semblables à la sienne mais qui ne courent pas les rues. En effet, elle est dotée d'une voix particulière, qui tend plutôt vers le classique d’autant qu'elle a un timbre digne des grands maîtres de la chanson.
Et là où elle se déplace, là où elle se produit, elle ne cesse de revendiquer sa marocanité et de défendre la chanson marocaine et le dialecte local que certains qualifient de compliqué.
Récemment, elle a pris part au Festival de la "Paix" à Abou Dhabi où elle a interprété un répertoire composé, entre autres, de chansons marocaines, en présence d'une forte communauté marocaine et arabe.
Elle est persuadée que la chanson marocaine peut avoir sa place surtout que les moyens de communication se sont multipliés. D'ailleurs, son duo en dialecte marocain "Habibi sarakni" qu'elle a interprété avec le Saoudien Talal Salama a connu un grand succès, tout autant que les chansons interprétées au Festival d'Abou Dhabi qui étaient très connues des jeunes notamment, "Aâlach ya ghzali" et "Sallou annabi". L’artiste a également pris part à la grande opérette "Boukra" avec la participation de grands chanteurs arabes. "J'ai déploré l'absence des Marocains et j'aurais aimé la présence d’Abdelwahab Doukkali, Abdelhadi Belkhayat ou Naima Samih qui sont considérés comme les vétérans de la chanson marocaine et dont les tubes sont assez connus dans tout le monde arabe", a t-elle confié.
Son ambition ne se limite pas à la chanson. Elle pourrait éventuellement intégrer le monde du cinéma.
"Si on me propose un scénario à la hauteur, j'accepterai. Bien sûr, il doit respecter la femme marocaine et traduire fidèlement son rôle dans la société", a-t-elle précisé.
Bien entendu, avec la même verve qu'elle défend la chanson marocaine et le dialecte local, elle tient à défendre l'image de la femme marocaine à travers le cinéma surtout que cette image a été quelque peu écorchée par des scénaristes et réalisateurs qui sont plus en quête de sensationnel que de rendre hommage au pays.
“Cela doit cesser, car le cinéma n'a pas besoin de scènes osées pour se faire comprendre. Les meilleurs réalisateurs n'ont jamais eu recours à de telles pratiques”, a-t-elle conclu.
Et là où elle se déplace, là où elle se produit, elle ne cesse de revendiquer sa marocanité et de défendre la chanson marocaine et le dialecte local que certains qualifient de compliqué.
Récemment, elle a pris part au Festival de la "Paix" à Abou Dhabi où elle a interprété un répertoire composé, entre autres, de chansons marocaines, en présence d'une forte communauté marocaine et arabe.
Elle est persuadée que la chanson marocaine peut avoir sa place surtout que les moyens de communication se sont multipliés. D'ailleurs, son duo en dialecte marocain "Habibi sarakni" qu'elle a interprété avec le Saoudien Talal Salama a connu un grand succès, tout autant que les chansons interprétées au Festival d'Abou Dhabi qui étaient très connues des jeunes notamment, "Aâlach ya ghzali" et "Sallou annabi". L’artiste a également pris part à la grande opérette "Boukra" avec la participation de grands chanteurs arabes. "J'ai déploré l'absence des Marocains et j'aurais aimé la présence d’Abdelwahab Doukkali, Abdelhadi Belkhayat ou Naima Samih qui sont considérés comme les vétérans de la chanson marocaine et dont les tubes sont assez connus dans tout le monde arabe", a t-elle confié.
Son ambition ne se limite pas à la chanson. Elle pourrait éventuellement intégrer le monde du cinéma.
"Si on me propose un scénario à la hauteur, j'accepterai. Bien sûr, il doit respecter la femme marocaine et traduire fidèlement son rôle dans la société", a-t-elle précisé.
Bien entendu, avec la même verve qu'elle défend la chanson marocaine et le dialecte local, elle tient à défendre l'image de la femme marocaine à travers le cinéma surtout que cette image a été quelque peu écorchée par des scénaristes et réalisateurs qui sont plus en quête de sensationnel que de rendre hommage au pays.
“Cela doit cesser, car le cinéma n'a pas besoin de scènes osées pour se faire comprendre. Les meilleurs réalisateurs n'ont jamais eu recours à de telles pratiques”, a-t-elle conclu.