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Feu Hamid Bentahar, de son vrai nom, n’était pas destiné à la musique, car dans sa famille on était boucher de père en fils. Mais c’est sans compter l’amour inconditionnel que le défunt portait à la musique. Il a appris à maîtriser l’Oud et s’implique dans la musique en intégrant un groupe de Dakka Marrakchia.
Le chanteur connaît un succès national à la fin des années 50 lorsqu’il enregistre ses propres chansons comme «Awin Awin» ou encore «Lila a Sidi Aâmara». L’apogée arrive en 1962, lorsque le Marrackhi produit «Marrakech A Sidi Koulou Fareh Lik» (Tout Marrakech est heureux pour vous, Majesté).
Au milieu des années 70, Hamid Zahir jouit déjà d’un statut de star nationale et côtoie des chanteurs mythiques au cours de sa carrière comme Oum Kalthoum, Abdel Halim Hafez, Mohamed Al Mouji ou encore Oulaya. Toutefois, à partir des années 90, ses apparitions publiques se font de plus en plus rares.