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Le roman "Les villes de la muraille" de l'écrivaine égyptienne Hala Badri, présenté mercredi à Casablanca, constitue une "représentation transparente" de la réalité, de l'imagination et de soi, à travers une vision philosophique "profonde qui lie le passé au futur".
La romancière, qui intervenait dans le cadre de la 24ème édition du Salon international de l'édition et du livre (SIEL), a dit s'être intéressée à la thématique de la lutte entre la libération et l'esclavage, la vie et la mort et la solitude à l'intérieur des murailles et ce à travers une vision philosophique profonde qui lie le passé au futur.
Dans une déclaration à la MAP, elle a relevé que son œuvre répond à certaines questions relatives à la révolution égyptienne, à ses causes et à ses différentes variantes sociales. "Les villes de la muraille" présente de nouvelles représentations de notre réalité, loin à la fois du réalisme cru et de la science-fiction, a souligné Mme Badri, indiquant que l'œuvre raconte une histoire d'amour qui essaie de concilier imaginaire, science et romantisme. Elle a fait savoir qu'elle narre des histoires inspirées du quotidien et présente des personnages, des lieux et des faits qui peuvent être rencontrés ou fréquentés chaque jour.
"Ce roman exprime mon avis personnel sur les révolutions du Printemps arabe et la position d'une grande partie de la société égyptienne et de certains pays arabes", a enchaîné Mme Badri, également nouvelliste, précisant que les révolutions participent aux changements de forme et de fond dans l'écriture littéraire.
La romancière, qui intervenait dans le cadre de la 24ème édition du Salon international de l'édition et du livre (SIEL), a dit s'être intéressée à la thématique de la lutte entre la libération et l'esclavage, la vie et la mort et la solitude à l'intérieur des murailles et ce à travers une vision philosophique profonde qui lie le passé au futur.
Dans une déclaration à la MAP, elle a relevé que son œuvre répond à certaines questions relatives à la révolution égyptienne, à ses causes et à ses différentes variantes sociales. "Les villes de la muraille" présente de nouvelles représentations de notre réalité, loin à la fois du réalisme cru et de la science-fiction, a souligné Mme Badri, indiquant que l'œuvre raconte une histoire d'amour qui essaie de concilier imaginaire, science et romantisme. Elle a fait savoir qu'elle narre des histoires inspirées du quotidien et présente des personnages, des lieux et des faits qui peuvent être rencontrés ou fréquentés chaque jour.
"Ce roman exprime mon avis personnel sur les révolutions du Printemps arabe et la position d'une grande partie de la société égyptienne et de certains pays arabes", a enchaîné Mme Badri, également nouvelliste, précisant que les révolutions participent aux changements de forme et de fond dans l'écriture littéraire.