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La communauté internationale avait salué l'atmosphère de paix et de sérénité qui avait prévalu, dimanche, pour la première élection libre de l'histoire de la Guinée, après 52 ans de dictatures. Mais, depuis lundi, les favoris, puis les plus petits partis, ont surenchéri pour dénoncer «fraudes» et «irrégularités». Mardi soir, un collectif de 17 partis a ainsi estimé que «des irrégularités manifestes avaient entaché le déroulement du processus électoral». L'un des principaux candidats, Alpha Condé, avait auparavant accusé le président de la Céni, Ben Sékou Sylla, «d'avoir tout fait pour que le scrutin se passe mal». Cet opposant de très longue date a notamment cité le fait que des bureaux de vote aient été «situés à 20, 30 km des populations» dans son fief de Haute-Guinée et a évoqué des «fraudes graves» dans trois quartiers de la banlieue de Conakry. Avant lui, les porte-parole de trois candidats - les ex-Premiers ministres Cellou Dalein Dalein, Lansana Kouyaté et Sidya Touré - avaient multiplié les dénonciations.











