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Contesté sévèrement depuis quelques semaines en tant que président de la commune, l’ancien ministre des Affaires étrangères fait, cette fois-ci encore, l’objet de plusieurs critiques sur sa gestion du Festival culturel international d’Asilah, dont il est également président depuis de longues années. Les manifestants réclament son départ de la tête du festival et de la ville. Pour eux, «Benaissa ne peut plus rien donner à sa ville. C’est au tour des jeunes de prendre la gestion de la ville en main. Un souhait manifesté via leurs nombreux sit-in et mouvements de protestation observés depuis plusieurs mois.
Pour justifier leurs revendications, les Zailachis mécontents de Benaissa préfèrent présenter la situation actuelle de la ville. Selon eux, cette perle du Nord a perdu énormément de ses atouts touristiques. «Plusieurs phénomènes sociaux, jadis inconnus, deviennent monnaie courante dans les quatre coins de la ville. Nos requêtes adressées auparavant au responsable de la ville et du Festival qui détient tous les pouvoirs n’ont abouti à rien. C’est pourquoi nous avons manifesté pour mettre terme à cette gestion anarchique de la ville dont nous subissons les conséquences», concluent-ils.