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Hors de Daydream, point de salut ? En fin de semaine dernière, nos confrères de Recode annonçaient que Google venait d’enterrer son projet de casque de réalité virtuelle «autonome». Ce projet, qui était hébergé au sein de Google X, était pensé pour concurrencer les casques de réalité virtuelle haut de gamme tel que le HTC Vive. D’après le site américain, il devait même fonctionner sous un OS indépendant. Quoi qu’il en soit, alors que les rêves de réalité virtuelle loin d’Android semblaient devoir être abandonnés, Engadget laisse entrapercevoir une autre possibilité. Selon ses sources, si ce premier projet est bien enterré, Google travaillerait à un casque qui « effacerait les frontières entre réalité virtuelle et réalité augmentée ».
Ainsi, bien qu’il possède un écran, il proposerait plutôt des fonctions habituellement liées à la réalité augmentée. Par ailleurs, il ne nécessiterait pas la présence d’un smartphone ou d’un ordinateur pour fonctionner. Aucune date de commercialisation ne serait pour l’instant fixée mais ce projet serait essentiel pour la stratégie future de Google.
A en croire ces mêmes sources, Daydream ne serait pas pour Google l’incarnation de sa vision de la réalité virtuelle sur le long terme. Il s’agirait plutôt d’un projet à l’objectif plus large, qui servirait de base pour la préparation d’une avancée plus importante.
Dans une optique où Google a pour vocation de récolter et distribuer des informations, la réalité augmentée – ou mixée - paraît effectivement plus pertinente puisqu’elle permet la surimpression de données dans le monde réel.
Une chose est certaine, Google ne peut pas se permettre de passer à côté de cette tendance qui semble emporter et mobiliser tous les grands noms de la high tech au point que ceux qui qualifient de « bulle » cet intérêt renouvelé pour la réalité virtuelle semblent devoir avoir tort… pour l’instant.
Ainsi, bien qu’il possède un écran, il proposerait plutôt des fonctions habituellement liées à la réalité augmentée. Par ailleurs, il ne nécessiterait pas la présence d’un smartphone ou d’un ordinateur pour fonctionner. Aucune date de commercialisation ne serait pour l’instant fixée mais ce projet serait essentiel pour la stratégie future de Google.
A en croire ces mêmes sources, Daydream ne serait pas pour Google l’incarnation de sa vision de la réalité virtuelle sur le long terme. Il s’agirait plutôt d’un projet à l’objectif plus large, qui servirait de base pour la préparation d’une avancée plus importante.
Dans une optique où Google a pour vocation de récolter et distribuer des informations, la réalité augmentée – ou mixée - paraît effectivement plus pertinente puisqu’elle permet la surimpression de données dans le monde réel.
Une chose est certaine, Google ne peut pas se permettre de passer à côté de cette tendance qui semble emporter et mobiliser tous les grands noms de la high tech au point que ceux qui qualifient de « bulle » cet intérêt renouvelé pour la réalité virtuelle semblent devoir avoir tort… pour l’instant.