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Pour ce qui est de l’ambiance dans laquelle se déroule sa campagne, Mme Benachir semble très enthousiaste et affirme avoir été très bien accueillie en tant que femme. D'après elle, les gens ne sont pas dupes, ils réclament le changement et demandent à voir de nouvelles têtes. L'USFP a su répondre à leurs doléances puisque 87 % des têtes de listes sont des candidats nouveaux. Ces derniers, animés par le souci d'être à l'écoute continue, des citoyens ne lésinent pas sur les moyens afin de porter haut les couleurs du parti.
Quid de la moralisation des élections? La candidate usfpéiste, affirme avec regret que certaines pratiques ont la vie dure telle que la prévarication. « L'argent continue à circuler, malheureusement de façon, je dirais presque normale », déplore-t-elle. C'est ce qui conforte les gens dans leur scepticisme quant au déroulement de la campagne et qui les amènera à s'abstenir de voter. L'amalgame est vite fait et le scénario des dernières élections de 2007 risque fort de se reproduire. Gageons sur un regain de conscience des citoyens qui devraient aller voter massivement le 25 novembre prochain, conclut-telle.