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Depuis une année déjà, le tissu associatif de Zagora, fort de plus de quatre-vingt associations, encadre une cinquantaine de jeunes, afin de les préparer à intégrer la vie active, à travers des projets initiés dans le cadre de l'INDH. La commission provinciale de l'INDH était fort peu encourageante. Le processus avait pris son petit bonhomme de chemin. Depuis juin 2008, cette commission a même approuvé ces projets qui concernent 16 diplômés chômeurs à M'hamid El Ghizlane, 24 autres à Zagora centre et 12 jeunes à Agdz. L'enveloppe financière qui est de l'ordre de 3,8 millions de dh, a fait l'objet d'un accord au sein de la commission. Et malgré cette dynamique, fruit de plusieurs négociations, ce programme que supervisait l'ancien gouverneur de Zagora s'est vu bloqué subitement.
« Le secrétaire général de la province a saisi la vacance du poste de gouverneur et a décidé de geler ce programme, et nous lançons le tocsin d'alarme sur les conséquences fâcheuses de cette décision irréfléchie », a tenu à préciser un membre du tissu associatif et membre de la commission provinciale de l'INDH.
A Ouarzazate comme à Zagora, plusieurs acteurs associatifs souffrent et se plaignent en permanence de pratiques bloquant l'accès aux projets développés. A voir les entrepreneurs qui bénéficient des projets INDH à Ouarzazate, l'on saura que cela ne concerne guère les jeunes promoteurs, mais bien les gros calibres du marché. Sinon, le gros calibre au singulier.